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L’apparition des premières parcelles de vignes dans notre famille remonte à la fin du 19ème siècle. Cela fait 5 générations que l’élaboration des vins de Graves rythme notre histoire. Les vignes sont plantées sur des sols pauvres de sable et de cailloux. Au gré des mariages principalement, la surface de l’exploitation va s’agrandir puis au fil des années et va se spécialiser dans 2 domaines : l’élevage de chevaux et la culture de la vigne.
A ce jour, l’écurie familiale de trotteurs nommée « Mon grand pré » est toujours présente sur les hippodromes de la région et le Château La Rocaille conserve lui une parcelle plantée il y a plus de 60ans.
C’est à la fin des années 70 et au long des années 80 que Jean Joseph Lamaison va entreprendre la restructuration complète du vignoble cédé par son père.
À ce jour, chacune des parcelles répond au strict cahier des charges de l’appellation des vins de graves. Nos vins blanc sont principalement issus du cépage Sémillon et nos Graves rouge sont en dominante sur le Merlot pour les 2 tiers et 1 tiers Cabernet Sauvignon.
Au début des années 2000, le Château la Rocaille investit dans un tout nouveau cuvier moderne, seules 2 cuves bétons (utilisées principalement pour la cuvée Caillaou Rouley) sont conservées. Nos nouveaux 1700 hectolitres de cuverie nous permettent une vinification parcellaire, procédé essentiel pour améliorer la précision de nos interventions au vignoble et de récolter au plus près de la maturité optimale.
Fort de son histoire, fort d’un vignoble à son apogée et d’un outil de production moderne, le Château la Rocaille s’engage dans les défis de notre époque.
Le vin c’est la convivialité, des moments partagés. Un client caviste m’a fait découvrir la bière Craft. J’ai craqué. La bière artisanale répond aussi à ces moments de bien être ensemble, de plaisir, de la découverte de nouveaux arômes et de sensations. Alors de façon nomade allant à la rencontre de brasseurs artisanaux, La Rocaille fait sa bière, en gardant la signature de ses vins.
Comme la vie est un éternel recommencement, la génération suivante devra se focaliser sur le renouvellement de son vignoble qui aura fait son temps. Probablement, sélectionner des cépages adaptés aux nouveaux enjeux climatologiques (la Syra peut-être) et profiter de l’espoir que procurent les nouveaux cépages résistants aux maladies.